Bonjour à tous,
Le mois de mars va se terminer sous peu.
Et c'est avec la finesse analytique de Stéphane que le chiffrage définitif se fera pour le pays.
Contrairement à ce que j'entrevoyais, il est quasi certain, comme le précise Stéphane que nous soyons en dessous des normes de la période 1971/2000.
J'imagine la tête de certains, puisque un mois déficitaire corrobore parfaitement leur vision glaciaire de nos prochaines années.
Le pauvre Socrate doit se retourner dans sa tombe, lui qui citait"
..la sagesse est la conséquence de la science. Il n'y a pas pour lui de sagesse ni de morale instinctive. Tout vient de la connaissance".
Bref.
Pour en revenir au sujet, les derniers coups de chaleur ne sont en eux point "extraordinaires".
Mars est connu pour ses fantaisies, tout comme avril dont le dicton est explicite.
Ce qui me "turlupine" un peu c'est de voir que ces températures presque estivales, ou disons bien chaudes, se répercutent sur les hauteurs en altitude.
Qu’il fasse chaud en plaine, ok.
Mais depuis de nombreuses années, on remarque que quoiqu’il tombe comme neige en hauteur (Vosges 1200 m, Alpes 1500m), en hiver, les coups de chaleur ont vite fait de nous débarrasser des névés qui persistaient bien plus longtemps, il y a de cela quelques décennies en arrière.
Alors la question que je pose, c’est :
y-a-t-il un réchauffement de nos couches en altitude moyenne ?
Il a fait 21.4° C à Strasbourg et 18.9° C chez moi à 600 m.
Que la température de Strasbourg reste dans la « normalité excessive » d’un mois de mars ou d’avril, soit ; mais celle en altitude ne correspond plus au gradient thermique « normal ». Sans rentrer dans le détail chiffré, les températures de moyenne montagne me paraissent excessives et non-conformes avec la différence qui devrait se faire avec la plaine.
Sur un autre post, j’ai tenté de faire le parallèle entre Chamonix et mon village ; cela s’est avéré inutile, comme le précise Michel si bien, car Chamonix est vraiment une exception (lire la réponse de Michel).
Mais des massifs comme les Vosges ou le Jura sont plus aptes à être analysés.
Je manque cependant de données chiffrées pour faire un parallèle entre les journées chaudes de plaine et celles d’altitude moyenne.
Quelqu’un a-t-il des données entre moyenne montagne et plaine lors des années « fastes » de 60/70 et celles d’aujourd’hui.
Je serais curieux de voir s’il n’y a pas effectivement un rapprochement entre les mesures de moyenne montagne et de plaine.
Bonne journée
serge
Le mois de mars va se terminer sous peu.
Et c'est avec la finesse analytique de Stéphane que le chiffrage définitif se fera pour le pays.
Contrairement à ce que j'entrevoyais, il est quasi certain, comme le précise Stéphane que nous soyons en dessous des normes de la période 1971/2000.
J'imagine la tête de certains, puisque un mois déficitaire corrobore parfaitement leur vision glaciaire de nos prochaines années.
Le pauvre Socrate doit se retourner dans sa tombe, lui qui citait"
..la sagesse est la conséquence de la science. Il n'y a pas pour lui de sagesse ni de morale instinctive. Tout vient de la connaissance".
Bref.
Pour en revenir au sujet, les derniers coups de chaleur ne sont en eux point "extraordinaires".
Mars est connu pour ses fantaisies, tout comme avril dont le dicton est explicite.
Ce qui me "turlupine" un peu c'est de voir que ces températures presque estivales, ou disons bien chaudes, se répercutent sur les hauteurs en altitude.
Qu’il fasse chaud en plaine, ok.
Mais depuis de nombreuses années, on remarque que quoiqu’il tombe comme neige en hauteur (Vosges 1200 m, Alpes 1500m), en hiver, les coups de chaleur ont vite fait de nous débarrasser des névés qui persistaient bien plus longtemps, il y a de cela quelques décennies en arrière.
Alors la question que je pose, c’est :
y-a-t-il un réchauffement de nos couches en altitude moyenne ?
Il a fait 21.4° C à Strasbourg et 18.9° C chez moi à 600 m.
Que la température de Strasbourg reste dans la « normalité excessive » d’un mois de mars ou d’avril, soit ; mais celle en altitude ne correspond plus au gradient thermique « normal ». Sans rentrer dans le détail chiffré, les températures de moyenne montagne me paraissent excessives et non-conformes avec la différence qui devrait se faire avec la plaine.
Sur un autre post, j’ai tenté de faire le parallèle entre Chamonix et mon village ; cela s’est avéré inutile, comme le précise Michel si bien, car Chamonix est vraiment une exception (lire la réponse de Michel).
Mais des massifs comme les Vosges ou le Jura sont plus aptes à être analysés.
Je manque cependant de données chiffrées pour faire un parallèle entre les journées chaudes de plaine et celles d’altitude moyenne.
Quelqu’un a-t-il des données entre moyenne montagne et plaine lors des années « fastes » de 60/70 et celles d’aujourd’hui.
Je serais curieux de voir s’il n’y a pas effectivement un rapprochement entre les mesures de moyenne montagne et de plaine.
Bonne journée
serge